Fondatrice

J’ai créé la Maison d’Etude car, franchement, il est inadmissible que tant d’étudiants éprouvent du dégout, de la démotivation, de l’ennui lorsque l’on prononce le mot étude. L’étude est, la plupart du temps, associée au domaine scolaire et à quelque chose de stressant, de forcé, d’obligé…

Or, l’étude ne relève pas exclusivement du domaine scolaire.
L’étude fait partie intégrante de l’évolution humaine.  
Le désir d’apprendre est inné et fait partie de notre espèce humaine.
Au même titre que le sont la curiosité et l’ouverture au monde.
Quiconque a regardé un bébé se développer depuis sa naissance ne peut mettre en doute  cette aptitude innée à la curiosité, ce désir d’apprendre, cette motivation et ce plaisir de la découverte !!!

Il y a donc lieu de s’interroger sur la quantité d’échecs scolaires, de vies détournées de ce qu’elles auraient pu être parce que trop souvent, des jugements sont ainsi posés sur les élèves : il n’est pas motivé, elle n’a pas confiance en elle…

Derrière un étudiant en difficulté, il y a un être humain qui a le désir d’apprendre.
Derrière un étudiant stressé, il y a un être humain qui est motivé.
Derrière un étudiant en échec, il y a un être humain fondamentalement ouvert au monde qui l’entoure.

En équipe, nous travaillons à ce changement.

Chantal Raisière est mathématicienne, bachelière en Sciences familiales et sexologiques. Elle est diplômée de psychanalyse, dispose d’une formation en philosophie et d’une pratique théâtrale.

Après avoir enseigné les mathématiques durant dix années, elle a été formatrice d’enseignants pour ensuite être nommée assistante en Education aux facultés universitaires de Namur. Installée à plein temps comme thérapeute spécialisée dans l’analyse du scénario généalogique et le développement des potentiels personnels et relationnels, elle a ensuite créé une nouvelle discipline d’étude de l’humain : l’Humanologie. Elle pratique actuellement en tant qu’humanologue.

En novembre 2005, au Théâtre Royal de Namur, seule en scène, elle a proposé une illustration de son travail sous forme d’un « traité d’Humanologie » qui se démarque des formes conventionnelles de l’exposé, de la conférence ou de la publication. C’est par l’interprétation artistique, en utilisant le jeu scénique, qu’elle nous a fait part du fond de ses explorations humaines.